La Mosquée Hassan II à Casablanca est l’un sinon l’édifice le plus impressionnant au Maroc.
Bien que sa construction puisse faire polémique, cela reste un incontournable à visiter lorsque vous passer dans la Casa la géante.
La Mosquée Hassan II : attractions n°1 de Casablanca
- Construite sur la Corniche de Casablanca, la Mosquée Hassan II est la 3ème plus grande au monde.
- Elle fait partie des 2 mosquées visitables du Maroc pour les non-musulmans.
- Son minaret, magnifique pièce d’architecture, est haut de 220 m de haut.
- Elle peut contenir jusqu’à 20.000 fidèles et pendant le Ramadan, quelques 40.000 fidèles supplémentaires peuvent venir prier sur la place qui l’entoure.
- A l’intérieur, un toit ouvrant immense s’ouvre sur la salle de prière pendant l’été.
Visite guidée uniquement
Pour les détails précis sur les horaires de visite, un bureau de l’office de tourisme est posté juste en face (à côté du grand rond point).
En général, la première heure de visite est à 9h chaque jour et comptez environ une visite toutes les heures (durée: 45 min), dernière visite à 15h (sauf le vendredi, jour de la prière où la Mosquée Hassan II ne se visite plus entre 11h et 14h). Le tarif est de 120 Dirhams par personne et il est possible d’être guidé en plusieurs langues (1 groupe/1 guide/ 1 langue). Tarif préférentiel pour les enfants, les marocains et les résidents ayant une carte de séjour.Un édifice source de polémique
La Mosquée Hassan II, construite sous la volonté du roi qui voulait laissait son empreinte sur la capital financière du Maroc, fait polémique.
En effet, Conçue par l’architecte Michel Pinseau, elle a été édifiée par le groupe français Bouygues et la maîtrise d’ouvrage a été assurée par le Ministère de l’intérieur; à l’époque dirigé par Driss Basri… Et ce sont les deniers du peuple qui ont financé sa construction.
Alors même si le peuple marocain est très fervent et que ce bâtiment, célèbre aujourd’hui, attire les fidèles venus des 4 coins du pays et des touristes du monde entier, on peut se demander si les quelques millions, voire milliards n’auraient pas pu financer des projets de développement tels que la résorption de l’analphabétisme par exemple, 50% de la population marocaine à ce jour, en 2014.